Covid 19 – Confinement : Amélie fait salon

France, Nice, Amélie chez elle,Baie des Anges, silhouette.Amélie, chez elle, devant la Baie des Anges.

Au centre du monde, façon Salvador Dali.

Salvador Dali a décrété « La gare de Perpignan : Centre du monde ». Pour Amélie, tout aussi scientifiquement, et particulièrement en période de confinement, le centre du monde gravite à Nice sur la colline de Cimiez, dans son salon.

At the centre of the world, Salvador Dali’s way…

Salvador Dali once said « The train station of Perpignan : Center of the world ». For Amélie, as scientifically stated as for Dali, and especially in this particular time of confinement, the centre of the world revolves around her living room, on the Cimiez hills overlooking Nice.

France, Nice, Baie des Anges.
La Baie des Anges vue du salon d’Amélie.  The bay, from Amélie’s home.

Depuis ses fenêtres, son regard embrasse toute la baie des Anges, du Cap de Nice au Cap d’Antibes, avec dans le lointain les cimes de l’Estérel à l’Ouest ou l’esquisse du Cap Ferrat vers l’Est.

Her windows offer sweeping views over the Baie des Anges, from the Cap de Nice to the Cap d’Antibes, with the Esterel mountains in the background to the west, and the Cap Ferrat to the east.

Les vignettes des galeries, comme celle ci-dessous, ne montrent qu’une partie de l’image. Pour les visualiser, cliquez sur l’une d’elles puis naviguez à l’aide des flèches.

La Méditerranée de Paul Valéry

« La mer, la mer toujours recommencée » écrivait le poète Paul Valéry, devant cette même Méditerranée, lui qui a fondé sur la Promenade des Anglais le Centre universitaire méditerranéen. Le grand père d’Amélie a fort bien connu Paul Valéry.

The Mediterranean of Paul Valéry

« La mer, toujours recommencée » once wrote the poet Paul Valéry, in front of the Mediterranean. He founded the Mediterranean University Centre, on the Promenade des Anglais. Amélie’s grandfather knew him very well.

France, Nice, Baie des Anges.  Soleil couchant.
Depuis le salon d’Amélie, au soir. From Amélie’s home, in the evening.

… ou un poème symphonique.

Soleil levant sur la Méditerranée, la lumière arrive du côté italien. De l’aube à midi, les jeux de scintillements de la mer et des vagues interprètent Claude Debussy en montant de l’horizon au zénith. Depuis l’occident, la France vue de Nice, le ciel chaud se mue en rougeoiements du couchant,  avant d’envahir tout l’horizon.

… a symphonic poem.

Sun rising over the Mediterranean, the daylight moves in from the Italian side. From dawn to midday, the sparkles of the sea and of the waves interpret pieces of Claude Debussy, rising from horizon to zenith. Later, the sun set brings in red glows that invade the westerly skies.

Amélie, en veste noire, décolleté, mini-jupe, collants chair. Jolies jambes. Revealing neckline, beautiful legs.
Amélie, chez elle.  Amélie at home.

Un ballet marin et aérien.

Tout au long du jour et dans le berceau de la nuit, se danse sur les flots, le ballet des ferries autour du port de Nice, vers la Corse, la Sardaigne, la Toscane, parfois la Sicile, voire les ports de l’Afrique et celui des vols du monde entiers depuis les pistes de l’aéroport Nice Côte d’Azur, au delà de la coupole du Negresco et de la plage… Chaque matin et chaque soir, elle se répète  « N’oublie pas comme c’est beau. N’oublie pas d’admirer ! ».

France, Nice, Baie des Anges. Amélie with the purple satin blouse. Heeled waders.
Amélie chez elle – Amélie wih the purple satin blouse.

A ballet on the sea and in the heavens.

From dawn to dusk, ferries dance around Nice harbour, servicing Corsica, Sardinia, Tuscany, and sometimes Sicily or even African harbours, while the Nice Côte d’Azur airport hosts a never-ending ballet of airplanes servicing the whole world and floating over the beaches and the dome of the Negresco. Every morning and evening, Amélie keeps thinking « Never forget to admire this beautiful scenery ».

Non, amoureuse de Nice et de la Baie des Anges, Amélie n’est pas blasée.

Amélie en mini-robe rose, jolies jambes, sexy. Passion-Bois.
Amélie, chez elle. Amélie at home.

Quand on a la chance de jouir d’une vue féerique, on se doit d’être à la hauteur.

Amélie, grande double porte en bois, cintrée.
Amélie à l’entrée de son salon. A the door of her living room.

Tout d’abord, cela se cultive. Reculer une mezzanine d’un bon mètre pour que le regard, dès l’arrivée dans le salon, embrasse tout le panorama de cet écran géant. Ne pas installer de volets roulants, dont le coffre du moteur aurait occulté tout le haut des baies et surtout les chapiteaux des colonnes. Ne pas changer les fenêtres guillotines contre des coulissants d’aluminium dont les montants auraient découpé le paysage en timbres-poste… Bref, le parti de l’esthétique impose des choix exigeants. Il faut aussi en accepter toutes les contreparties, fussent-elles moins commodes.

Amélie, Nice, portrait de trois quarts, t-shirt moulant décolleté.
Amélie, chez elle. Un portrait.

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La vue comme une scène.

Théâtraliser la vue : un mur intégralement blanc, dépouillé de tout ornement, tableau, meuble bas, objets décoratifs. De hauts rideaux de tissus, très clairs qui entrent dans les logements latéraux. Rien ne doit arrêter le regard. La pureté pour se faire oublier.

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Sous le plafond immensément haut, les poutres massives des fermes de charpente structurent l’espace. Pour donner la sensation de volume, une mezzanine d’un côté et, de l’autre, un lustre de cristal de forme contemporaine, se répondent. Entre ces deux masses verticales, on se sent tout petit et aspiré vers les cieux.

France, Nice, Baie des Anges.  Soleil couchant.
Couchant sur la Baie des Anges, vu du salon d’Amélie.

Nice ou la douceur azuréenne.

Le printemps est au rendez-vous, à peine en avance car les hivers sont doux et ensoleillés sur la Côte d’Azur, à Nice en particulier. Ce furent d’ailleurs ces fameuses douceurs de l’hiver azuréen qui firent découvrir la Côte aux anglais, dont la plus fameuse d’entre tous, sa majesté britannique Victoria, impératrice des Indes. 

France, Côte d'Azur, Nice, Cimiez, Amélie, décolleté, robe jersey courte.
Amélie, chez elle sous la tonnelle aux glycines. On the terrace with wisteria.

Les tenues d’Amélie en ces huit semaines sont ainsi passées de ses vestes noires cintrées (elle les affectionne tant que sa garde-robe en compte au moins une dizaine), avec les cachemires noirs et les petites jupes plissées noires, au satin gris ou violet puis au jersey et au cachemire ivoire. Et la voilà même en voile blanc ou rosé voire en maillot de bain deux pièces, bleu, le plus souvent, pour les premiers bains de l’année.

France, Côte d'Azur, Nice, Cimiez, Amélie, décolleté, robe jersey ivoire courte. Short dress. Beautiful long legs.
Amélie sous la tonnelle aux glycines. Amélie under the wisteria arbor.

Respectueuse des consignes de prévention, Amélie télé-travaille autant que possible et, pour se délasser, ne sort pas de son parc.

Sur un PC, pour une meilleure visualisation des images, cliquez sur une image et naviguez avec les flèches.

IPH et Amélie saluent tous les soignants, pour leur courage et leur dévouement, et remercient tous ceux qui permettent au pays de continuer à vivre. Ces images leur sont dédiées.

France, Côte d'Azur, Nice, Cimiez, Amélie, piscine, maillot décolleté.Amélie, première baignade de l’année.

IPH et Amélie vous souhaitent patience pendant le confinement et vous espèrent tous gaillards pour la suite.

Amélie, portrait de trois quarts.
Amélie, chez elle.

You can also meet me in « Focus on Amélie »

Focus on Amélie 

Tenues d’Amélie (Amélies outfits)

Accent sur des tenues caractéristiques ou remarquables d’Amélie

Regards sur Amélie (Insights on Amélie)

Réflexions sur les cadrages, angles de visée, lumière des portraits d’Amélie

– Amélie dans les miroirs (photographie des reflets)

– Miroirs – I. Le cadrage inclut Amélie et son reflet

– Miroirs – II. Le cadrage n’inclut que le reflet d’Amélie. Elle n’est plus dans le champ

– Amélie, portraits classiques

Again and again, I kiss you.

Amélie

10 commentaires sur “Covid 19 – Confinement : Amélie fait salon”

  1. Cela m’a fait du bien de voir ces belles photos , je parlais du paysage bien sûr… mais aussi d’Amélie.
    Le texte est très beau, emprunt de poésie qui manque cruellement à notre triste époque ; cela m’a fait rêver, c’est un vrai bonheur à lire et je l’ai aussitôt envoyé à mes amis.
    Amélie habite déjà dans un palace…, de surcroît son sens esthétique, de la décoration et la photographie sont maîtrisés à la perfection.
    Son sens du beau est communicatif et encore merci pour le bonheur de vivre qu’Imagine palace hotel partage avec chacun d’entre nous.

    1. Cher Joël,

      On publie comme on envoie une bouteille à la mer, dans l’incertitude. Sera-t-elle trouvée ? Comment sera lu le message ? Lorsqu’on y met de soi, ici dans une dimension esthétique, voire d’une esthétique de vie, on a encore davantage l’attente d’un retour de ceux qui trouveront le message et auront peut-être l’envie de le partager.

      Quelle belle réponse de partage !

      Merci Joël d’avoir si bien exprimé la raison d’être de ce site.

  2. Même pendant le confinement, la belle Amélie continue de nous faire rêver. Cette princesse habite un palais dont elle n’est pas le moindre charme ensorcelant !

  3. Comment se passe ce confinement ?
    J’espère que la belle Amélie reste joueuse pendant cette rude période et gourmande à souhait !
    Amitié
    Cyneas

    1. Bonjour Cyneas,

      comme vous le voyez, mon confinement e passe dans d’agréables conditions. Je reste épicurienne. Cet article est ma contribution pour éclairer d’un sourire le confinement de ceux qui me suivent sur la toile et pour remercier les soignants et tous ceux qui se mobilisent pour la continuité des conditions de vie de tous.

      Amélie

  4. Belle Amélie,

    Merci de nous ouvrir ainsi votre intérieur, où la modernité n’exclut pas le bon goût. Les photos où vous posez jambes nues – sublime robe rose, merveilleuse mini-jupe en jean ! – sont d’une rare sensualité. Pour la rehausser, je souhaiterais vous offrir une chevillère. Oui, cela me ferait extrêmement plaisir de vous adresser une chaîne ornée de perles noires de Tahiti. Car votre féminité vous élève au rang de la Vahiné polynésienne.
    Tout à vous,
    Tristan.

    1. Cher Tristan,

      merci pour cet hommage à mes jambes. Il m’est précieux de la part d’un esthète. Quelle délicate suggestion de m’offrir une chevillère, ornée de perles noires de Tahiti. Oui, cela me ferait plaisir d’être élevée au rang de Vahiné polynésienne.

      Amélie.

      1. …une Vahiné qui aurait troqué ses cascades pour un somptueux canapé blanc. Mais celui-ci n’est-il pas trop salissant ? N’exige-t-il pas de vous des talents de soubrette, en plus de ceux de maîtresse de maison ? Quoi qu’il en soit, à moitié allongée dessus, vous apparaissez en beauté, telle une moderne odalisque,

        Tristan.

  5. Ma très chère Amélie, la curiosité m’a poussé à venir voir où Vous habitez.

    Votre demeure Vous ressemble, c’est un palais pour une princesse, rayonnante avec les immenses fenêtres à colonnades qui laissent entrer le soleil. On Vous y sent bien.

    Quant à Vos superbes longues jambes, whaouo Amélie, je ne me lasse pas de les admirer.

    Je n’oublie pas de féliciter votre photographe pour son talent et son travail.

    Votre admirateur Pascal qui continue à Vous découvrir.

    1. Merci Pascal pour vos appréciations élogieuses. Elles me vont droit au coeur.
      C’est ainsi un plaisir de vous accueillir dans mon salon.

      Amélie

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